L’avare
Corriger ensemble la fiche « le portrait d’harpagon » :
- Ce qu’il dit
- Ce qu’il fait
- Ce qu’on dit de lui
Champ lexical de la dureté, force des terme toujours très méchants prouvant le caractère excécrable du personnage. Sauf frosine qui ruse par l’hypocrisie.
Une forme, une construction revient souvent (laquelle ?)
La forme du comparatif et du superlatif
Donner les différences des 2 formes et trouver d’autres exemples
Pour l’un, on compare un élément à un ensemble et pour l’autre, on compare deux éléments l’un à l’autre.
Ce sont différents degrés de l’adjectif :
Photocopie (6 et 7 p 143 3°)
Reprendre les phrases de la fiche et transformer au comparatif puis au superlatif
On peut comparer deux éléments l’un avec l’autre en utilisant le comparatif. Il existe trois types de comparatif :
- Le comparatif d’égalité
- De supériorité
- D’infériorité
L’adjectif mis au comparatif est complété par un complément de l’adjectif qui commence par « que »
Le superlatif, lui permet de comparer un élément à l’ensemble qui le contient.
Il y a deux types de superlatif :
- De supériorité
- D’infériorité
Le superlatif est complété par un complément du superlatif introduit par « de ».
Une des particularités du théâtre est qu’aucun narrateur n’est là pour raconter ce qui se passe, seules les paroles sont rapportées de façon directe.
Il ne peut pas y avoir de pause ou d’intrusion du narrateur.
Pour connaître les décors ou bien les portraits du personnages, il faut puiser des renseignements ailleurs :
Faire un portrait moral et physique d’harpagon comme il y en aurait un dans un roman, celui-ci débutera par : « tout à coup arriva harpagon, il…. » acte 1, 3