LES CATASTROPHES NATURELLES
C’est encore une fois, malheureusement, la nature qui a imposé sa force à l’homme ; que ce soient séisme, raz de marée, pluie torrentielle ou aridité, il est difficile de lutter.
Le 18 juillet dernier environ 1000 personnes sont mortes en Papouasie lors d’un tremblement de terre très violent de magnitude 7 sur l’échelle de Richter. Le séisme a provoqué un raz de marée qui en soulevant une vague de 10 mètres de haut a ravagé sept villages côtiers dans la région de l’ouest du fleuve Sépik.
Les séismes sont très nombreux dans cette région et à cette époque de l’année. La Papouasie se situe en effet sur une faille terrestre et le moindre mouvement des plaques tectoniques entraîne le danger : un danger de plus en plus grand puisque cette région n’avait jamais connu une magnitude aussi forte (magnitude 2 en 1992 et magnitude 5 en 1196).
Dés lors, que faire ?
Faire évacuer des milliers de personnes, renforcer la qualité des habitations, installer une station météorologique capable de détecter les séismes ?
Je pense qu’aucune des solutions n’est envisageable dans ces pays où les revenus sont si faibles et où le manque de moyen empêche toute protection !
C’est aux pays développés de prendre le relais mais aussi à vous lecteurs : un peu de solidarité, une pensée …
Des secours humanitaires devraient prendre le départ dès la fin de le semaine pour venir en aide aux Papouasiens : quelle bonne action !
Michel Moret, le 20 juillet
Article paru dans science et vie junior